A l’heure ou le pays,à travers des réformes notamment économiques, tente de réduire sa dépendance vis-à-vis des recettes pétrolières, on nous surprend par l’abrogation des dispositions portant imposition des plus-values de cession à titre onéreux des immeubles bâtis et non bâtis (articles 77 à 80 bis du CIDTA).Nos recettes ordinaires sont déjà privées de celles pouvant être procurées par l’impôt sur le patrimoine à cause de l’absence de recensement des grandes fortunes (et Dieu seul sait qu’elles pillulent), elles sont maintenant diminuées de celles procurées de l’ISPV.Il est vrai aussi qu’il serait injuste d’imposer les petites gens cédant de vieilles batisses héritées ou construites à coup de sacrifices. Aussi, ne serait-il pas judicieux de n’exonérer cet impôt qu’ à partir d’un certain seuil
L'Aide Comptable